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Je stagne au piano, que dois-je faire pour m’améliorer ?

[3 CONSEILS POUR DEPASSER LA PHASE DE STAGNATION]

Dans cette article on vas te donner 3 conseils, pour réussir, pour t'améliorer. Et pour que tu puisses passez le cap que tu n'arrive pas gravir.


Ton rêve au piano c’est de savoir jouer, pas forcément comme un pro, mais à ton niveau et surtout d’y prendre du plaisir.
Alors tu t’y mets en retroussant tes manches, tout simplement, jusqu’au jour où…

tu as ce sentiment bizarre qu’au fur et à mesure de tes progrès, il y a de plus en plus de choses à savoir faire (pour réellement prendre ton pied).

Parfois tu as même l’impression que plus tu apprends, plus ton rêve s’éloigne… comme un oasis qui approche mais n’arrive jamais. C’est embarrassant, voire affolant !

Mais en même temps c’est comme ça dans tous les apprentissages de tous les domaines :

Plus on sait, plus on doute

car on se rend enfin compte de l’immensité de ce qu’il reste à apprendre !


Pour les débutant au piano, l’immensité du savoir commence comme ça :

  • synchroniser rapidement les deux mains
  • fluidifier le rythme et gagner en vitesse
  • s’habituer à reconnaître les bémols et les dièses
  • lire les partitions de plus en plus complexes
  • avoir plus de vélocité
  • mémoriser les nouveaux morceaux
  • ne pas perdre les anciens
  • apprendre l’harmonie, l’improvisation, les tonalités…


La liste devient de plus en plus longue. Car, plus tu progresses, plus tu vois qu’elle s’allonge… c’est assez injuste, mais ça fait cet effet dans toutes les matières. Ne t’inquiète pas, c’est tout à fait normal.

Le problème, c’est cette période de stagnation. Ce moment où tu as l’impression de ne plus avancer, de ne pas faire de progrès. Si tu laisses cette petite croyance s’insinuer dans ton esprit, tu risques de te décourager.


Tu connais déjà certaines solutions :

Je sais que tu as déjà cherché des solutions. Travailler davantage, choisir des morceaux qui te plaisent plus (et plus difficiles), faire des sessions plus longues sont des solutions qui vont te faire progresser dans l’immédiat, mais ce n’est pas le plus efficace sur le long terme.

Ton niveau d’énergie descend et remonte sans arrêt. C’est éprouvant pour ton mental, même si à certains moments tu peux vivre des moments de passion, ce que tu voudrais, ce sont des progrès constants.

Pour éviter les périodes de stagnation et garder le même haut niveau de motivation toute l’année, voici un principe de pianiste :


Respecter l’équilibre effort / récompense

Je ne te l’apprends pas, c’est la stratégie de tous les systèmes d’apprentissage.
Le problème, c’est que traditionnellement, ce système est subi par l’apprenant.
Ici ce qu’on va voir, c’est comment s’approprier cet équilibre afin qu’il soit ajusté à ta personnalité.

Alors, prête pour mes 3 conseils ?


Conseil numéro 1 : La persévérance, une force intérieure


La vraie persévérance, ce n’est pas l’acharnement.
La vraie persévérance c’est ta façon à toi de garder ta motivation au plus haut niveau toute l’année.

Et pour garder, il faut savoir « regarder ».

Il y a des jours où ton énergie est faible : ce sont les jours où tu fais des efforts. Et des jours où ton énergie est élevée : c’est la récompense.

Personne ne te demande tous les jours ton niveau de motivation. Il te faudrait un coach de piano qui s’intéresse à toi tous les jours. Mais comme aucun prof de piano ne va accepter de t’appeler tous les jours pour te demander ta météo intérieure, tu dois le faire toi-même.

Ma mère me coachait tous les jours. Tous les jours elle me demandait si j’avais besoin d’elle pour répéter mes morceaux, mes gammes et mes études. Tous les jours j’avais le choix de lui dire, « oui, je veux que tu t’assoies à côté de moi pour me motiver », ou « non, j’ai assez d’énergie et je veux travailler seule. »

C’est ce qui m’a permis d’être toujours constante. Mes profs pouvaient compter sur moi. Chaque semaine à l’identique, le travail était fait. Pas une semaine, il n’y avait de moins bon travail. C’était très constant et rassurant.

Toi aussi, écoute ta météo intérieure, observe ta motivation. Et selon ton niveau d’énergie, adopte des phrases de motivation positives*, comme si tu avais une coach assise à côté de toi.

Ta première mission
est de t’observer en écoutant ta petite phrase intérieure du jour. Si elle est positive, écris-la sur un cahier et ainsi tu pourras la ressortir les mauvais jours.

*Ce n’est pas forcément évident de regarder en soi tous les jours, surtout quand on est seule. Nous verrons dans le conseil n° 3 comment arriver directement à avoir un bon mental sans scruter notre intérieur.


Conseil numéro 2 : LE MIX


Le MIX, c’est oser utiliser plusieurs méthodes et avoir plusieurs profs.

Attention, avoir plusieurs profs ou plusieurs méthodes, ce n’est pas s’éparpiller.

Avoir plusieurs profs et plusieurs méthodes, cela sert à créer des liens, faire des connexions dans ton cerveau et t’approprier la musique.

Comment répondre à tes besoins musicaux et ta soif d’apprendre :

Tous les jours, tu as faim, soif, sommeil. Ta faim, ta soif et ton sommeil sont assouvis quand tu as bu, mangé et dormi.

Au piano, tu as aussi des besoins : tu as besoin de vélocité, de mémoire et de musicalité. Ils sont assouvis quand tu fais de la technique, de l’analyse et des morceaux qui te plaisent.

Quand tu as assouvi un besoin, tu peux passer à l’autre. Et un truc formidable se passe quand dans la même journée tu vois de la technique, de l’analyse et des morceaux, c’est que tu fais des liens, des connexions.

Tu peux avoir contact avec le solfège, l’harmonie, les partitions classiques, les grilles d’accords, l’improvisation. Et tous les jours, toutes ces leçons vont faire des connexions dans ton savoir.

Admettons que tu te fasses un stage intensif de solfège pendant 4 mois, et que ensuite tu te mettes à fond sur la lecture de partition. Que va t’il se passer ? Comment vas-tu faire le lien entre la théorie et le concret ?
De manière longue et fastidieuse.

Tu auras oublié une bonne partie, ou cela te demandera plus d’efforts.
Si par contre, tu fais les deux en même temps. Et bien tu vas faire des liens entre les deux, tu vas t’émerveiller de comprendre bien plus vite.

J’entends ces gens (et profs) qui disent qu’il faut commencer par le solfège. N’écoute pas cette maxime !

Ce n’est pas vrai, cela ne fait qu’augmenter ta frustration, c’est tout.
Tu es tout à fait capable d’avancer tout en jouant, même dès le début.

Ma mère, véritable coach de pianiste, qui a su emmener ses filles directement à la médaille d’or de piano, n’a pas hésité à nous emmener, mes soeurs et moi, chez d’autres professeurs que ma « prof attitrée » du conservatoire.

Et pourtant…c’était très mal vu à l’époque. Ma mère, je crois qu’elle s’en fichait, tout ce qu’elle voulait c’était que je progresse plus vite que l’éclair.
Cela m’a permis de voir d’autres approches, d’autres façons de travailler.

Varier tes approches d’apprentissage, c’est nourrir tous tes besoins. Cela accélère ton apprentissage en créant des liens.


Des liens entre ce que disent les profs, mais aussi des liens entre toutes les disciplines.

Et là où tu ne te rends peut-être pas compte pour l’instant, c’est que aujourd’hui tu as une chance incroyable. Toutes ces matières, tous ces profs différents te sont accessibles depuis chez toi grâce à internet. (Moi il fallait que je me déplace)

Ta deuxième mission
est de mixer ton apprentissage avec la technique, l’analyse et des morceaux (ou improvisation)


Conseil numéro 3 : la bienveillance avec ton intérieur


Au conservatoire, ce qui m’a manqué, c’est de la bienveillance de la part de tous les adultes qui m’entouraient. Je le sais car aujourd’hui je m’occupe beaucoup plus de mon niveau d’énergie. Mais à l’époque, c’était pour tout le monde pareil. On ne faisait pas de cas particulier. Il fallait se plier au moule.

Alors comment rendre ton travail constant ?
Même si tu n’as pas de maman-coach comme j’ai eu à côté de toi pour t’épauler..

Je ne sais pas si cela t’est déjà arrivé, mais j’ai fait une overdose de piano : à 18 ans, j’ai dû arrêter le piano pendant 1 an.

Je ne pouvais plus. C’était trop épuisant, pas assez amusant, trop difficile, encore et encore des efforts à faire. J’étais à saturation. J’avais déjà la médaille d’or et un concert avec orchestre en bagage. Mais j’avais besoin d’arrêter.

En plus, quand je suis sortie dans le milieu rock, pop ou jazz, je me sentais nulle car je ne savais même pas jouer d’oreille. Alors je me suis donné comme mission de parfaire mon savoir-faire et j’ai appris.

Le problème, c’est que j’étais imprégnée du mental « conservatoire ».
J’avais beau agiter la conserve, rien ne de neuf n’apparaissait.

Je n’avais plus ma mère à mes côtés, et de toutes façons, elle ne voulait pas que j’improvise (il faut bien qu’elle aie des défauts, sinon elle serait parfaite 😉

Ce qui m’aurait bien aidé, c’est d’avoir des pistes pour avoir le BON MENTAL.

C’est ce que je vais faire ici, je vais te donner quelques exemples de phrases automatiques que l’on se dit, et par quoi les remplacer pour avoir un meilleur mental .


Liste de phrases et
croyances négatives


  • Je suis trop vieille pour mémoriser
  • Mes mains sont trop petites
  • J’ai trop de lacune en solfège
  • J’aurais du commencer par la théorie
  • Ah si j’avais fait du solfège petite ! (même si tu avais fait du solfège petite, tu ne te serais pas approprié les notions)
  • Je ne viens pas d’une famille musicienne
  • Je n’ai pas l’oreille musicale
  • Je dois commencer par le classique pour avoir de bonnes bases
  • Je ne suis pas douée
  • Les autres y arrivent mieux que moi
  • Je suis nulle
  • Je n’ai pas le temps de m’entraîner
  • Je ne m’entraîne que quand j’en ai envie
  • Les cours sont trop chers pour moi
  • Sans prof à côté de moi tous les jours, je n’y arriverai pas
  • Mes doigts ne fonctionnent pas bien

Liste de phrases et
croyances positives


  • Je suis tellement passionnée que je me moque du regard des autres
  • Je joue pour mon plaisir avant tout
  • Je suis tellement zen que je ne ressens aucune pression
  • A mon âge, je ne me mets plus aucune pression
  • J’ai du temps et je prends le temps qu’il me faut
  • On intériorise la théorie plus facilement quand on joue les notions apprises
  • J’aime faire des liens entre la théorie et la pratique
  • Grâce à internet, j’ai autant de ressources qu’un enfant né dans une famille musicienne
  • L’oreille ça s’éduque
  • J’écoute de plus en plus
  • Chaque jour, en pratiquant le piano, j’affine mon ouïe
  • Je me forme grâce aux formations de Caroline et Aurélie et à leur contenu gratuit
  • J’équilibre mon plaisir et mes efforts
  • J’ai le droit de jouer un morceau qui n’est pas au programme de ma prof (j’en ai terriblement envie )
  • Je suis de plus en plus régulière dans mes entraînements car j’ai compris que la régularité est plus fructueuse que les aléas émotionnels
  • Je sais que la passion doit s’accompagner d’organisation si je veux progresser
  • Même quand je n’ai plus d’argent sur mon compte, j’arrive à progresser avec tout ce qu’il y a de gratuit sur internet
  • J’ai le droit d’échanger un service contre un cours de piano (c’est du troc et c’est légal)
  • Je m’organise de mieux en mieux au piano
  • Je travaille intelligemment
  • Ce ne sont pas mes émotions qui décident ce que je dois faire, c’est moi qui choisit comment répéter pour ensuite laisser mes émotions se libérer dans la musique
  • Je ne suis pas nulle, j’apprends, c’est tout
  • Tout le monde a le droit d’apprendre, même moi
  • Chacun son rythme
  • Je préfère progresser lentement et détendue que trop vite et sans plaisir

Tu vois comme la colonne de droite est plus longue que celle de gauche ?
C’est parce qu’aujourd’hui, j’ai pris l’habitude de vraiment tout positiver.
C’est aussi grâce à mes amis qui ont cru en moi que j’ai pu développer les phrases positives. Je suis sûre que toi aussi tu peux en ajouter de ta vie de tous les jours.

Cette liste te donne juste l’élan de le faire car on peut vite être happée par le stress de la vie quotidienne.

Ta troisième mission :
est de lire à voix haute ces affirmations pour stimuler la bienveillance au quotidien avec toi-même


Réponds-moi en commentaire pour me dire :


Laquelle de ces 3 missions te parle le plus ?

– Observer ton niveau d’énergie et écouter ce que tu te dis à toi-même
– Mixer tes journées entre la technique, l’analyse et des morceaux (ou improvisation)
– Remonter ton niveau d’énergie en t’imprégnant de phrases quotidiennes d’encouragement.

Et dis-moi si tu veux que je recopie les 3 missions avec la liste des phrases dans un PDF que je pourrais t’envoyer depuis ma newsletter.

Cet article a 42 commentaires

  1. Luc

    Merci beaucoup Caroline.. Tout cela me remotive.. Je me remets au travail

  2. jean-claude DAVENNE

    Bien reçu les conseils, je vais démarrer ta méthode qui me surprend dès le départ, ça commence par l’organisation et le mental, c’est motivant.

    1. OUI Jean-Claude, on va bosser ça ensemble l’organisation.
      Je trouve ça chouette que tu repartes au piano motivé 😉

  3. Jacques Rancourt

    Excellent texte motivant. Merci Caroline.

  4. piriou jean luc

    Salut Caroline,
    Peux tu faire un PDF de ton article, qui correspond tellement bien à ce que je vis en ce moment, que je voudrais garder une trace et cela m’évitera de faire des captures d’écran, je te remercie pour ta réponse, prend soins de toi.
    a bientôt
    Jean Luc

    1. Bien sûr Jeanluc je vais faire le pdf pour la semaine prochaine. Je pense faire un résumé Y a t’il un paragraphe que tu voudrais avoir en particulier ?

  5. Charles-euphrosine

    Bonjour Caroline, pour répondre à ta question : voici ma réponse

    « Mixer tes journées entre la technique, l’analyse et des morceaux (ou improvisation) »
    A partir des cours d’improvisation, tes cours sur la technique, le rythme, l’analyse d’un morceau, j’essaye de
    retrouver le mode d’une partition. Je prends au hasard une partition qui n’a pas de clé de fa et je cherche à partir de vos cours de trouver des accords correspondants. Je suis contente quand je fais tout cela, j’ai l’impression d’avancer. Je suis plus dans la démarche théorique.
    Mais j’ai l’impression de stagner quand j’apprends un morceau, j’ai l’impression que je passe trop de temps à trouver un jeu fluide. Tu m’as encouragée la dernière fois quand je t’ai dit que j’apprends le prélude de Chopin, avec plein d’accords. Eh cela m’a fait du bien, je travaille un peu quotidiennement. Je te comprends quand tu dis que ta mère était à tes côtés pour t’encourager. Merci pour la liste des pensées positives. C’est avec grand plaisir que je l’imprimerai si tu me l’envoies en PDF. Je te remercie.

    1. C’est super ce que tu fais comme démarche à trouver les accords d’une partition clé de sol.
      Tu es dans ta période « harmonique », à comprendre la construction des accords dans les morceaux.
      C’est sûr que ça va t’aider à mieux comprendre ce que tu joues et à ne plus te sentir perdue quand tu improvises.
      Pour le PDF, je mettrai la liste, y a t’il un paragraphe en particulier que tu veux en plus de la liste ?

  6. Gaëlle Gibi

    Bonjour Caro,
    Super article, comme d’hab !
    Ta maman a su te transmettre – aussi – ton envie d’aider, de coacher.

    C’est vrai qu’en tant qu’adultes, nous avons oublié le temps que requiert l’apprentissage. Chaque semaine nous avons pris 4 heures de cours d’anglais (plus le travail à la maison, entre autres) pendant combien d’années, pour ne même pas arriver à parler sans complexe à 18 ans ???

    Les grands-parents sont à nouveau confrontés à l’apprentissage de la lecture etc des jeunes enfants et personnellement, cela remet ma pendule pianistique à l’heure !

    J’ajouterais une remarque : comment décréter qu’on stagne ?
    J’ai plus ou moins résolu ce « sentiment de stagnation » – très à la mode, le « sentiment de » – par la quantification, la mesure des résultats.
    Si j’arrive à jouer 4 mesures de plus qu’hier sans faute (le coup des licornes de ta méthode) au même tempo, ou si j’ai pu jouer sans faute à un tempo supérieur, même si c’est 5 de plus, eh bien, c’est que mon « sentiment de stagnation » est faux.

    Et si je n’y arrive pas, je joue un morceau « pour le plaisir » : oups, je n’y arrive plus, c’est bête, je recommence, ah tiens, ça revient, mes doigts se souviennent, bon… qu’est-ce que j’ai eu du mal sur ce petit morceau tout bête quand je l’ai appris, donc le morceau sur lequel je bute va bien finir par rentrer.

    Tu vas rire !!! oui oui j’en suis sûre : quand j’ai bien réussi, franchi un obstacle, minime soit-il, j’embrasse mes doigts en leur disant « bravo, mes chéris ! », ben oui, il faut les encourager 😉

    Bon… faut reconnaître que ce n’est pas facile, vu l’étendue du paysage qui s’offre à nous. Mais les retraités ont du temps et peuvent effectiveent varier les plaisirs entre déchiffrage, lecture, travail de l’oreille, impro etc.
    Aîe la dispersion !

    Bravo à toi et Aurélie (je suis une élève de plusieurs de vos formations), ainsi qu’à tous ceux qui sont embarqués dans cette belle aventure

    Moi aussi je veux bien tout ton article en pdf, ça m’évitera le copier-coller sur word, mille mercis !

    Gaëlle

    1. Merci Gaëlle,
      j’adore ta description pour repérer le sentiment de stagnation. C’est très précis !
      « Si j’arrive à jouer 4 mesures de plus qu’hier sans faute (le coup des licornes de ta méthode) au même tempo, ou si j’ai pu jouer sans faute à un tempo supérieur, même si c’est 5 de plus, eh bien, c’est que mon « sentiment de stagnation » est faux. »

      En effet, c’est plus souvent un sentiment qu’une réalité. C’est pour ça que je parle de niveau d’énergie…à méditer

      Je t’enverrai le PDF dans la semaine.
      Bises

  7. Rose

    Bonjour Caro,
    La mission qui me parle le plus c’est :
    remonter mon niveau d’énergie en m’imprégnant de phrases quotidiennes d’encouragement.
    Oui j’aimerais que tu recopies les 3 missions avec la liste des phrases dans un PDF que tu pourrais m’envoyer depuis ta newsletter car cela pourra m’aider. Ce serait comme si tu étais près de moi en « vrai »

    Voici le passage de ta newsletter qui a fait mouche au fond de moi :

    « Ton rêve au piano c’est de savoir jouer, pas forcément comme un pro, mais à ton niveau et surtout d’y prendre du plaisir.
    Alors tu t’y mets en retroussant tes manches, tout simplement, jusqu’au jour où…

    tu as ce sentiment bizarre qu’au fur et à mesure de tes progrès, il y a de plus en plus de choses à savoir faire (pour réellement prendre ton pied).

    Parfois tu as même l’impression que plus tu apprends, plus ton rêve s’éloigne… comme un oasis qui approche mais n’arrive jamais. C’est embarrassant, voire affolant ! »
    Merci Caro d’être là pour nous accompagner sur ce long chemin d’apprentissage ❤️
    Prends bien soin de toi, amicalement,
    Rose

    1. OUi, je serai en VRAI avec toi !
      Et j’ai connu ça aussi…je t’enverrai le PDF d’ici une semaine je pense.
      Bises

  8. piriou jean luc

    Bonjour Caroline,
    Tu as taper dans le mille, je traverse exactement la période que tu décris, et j’essaye de traverser en ayant choisi sans vraiment y réfléchir pour une sorte de mixe, un peu de travail de partition, Nefeli et gymnopédie, des exercices techniques indépendance des mains, rythme et gammes blues et début d’impro blues en C, mais que de travail pour jouer avec mes 12 mesures dans ma grille d’accords défini et le rythme croche en shuffle pour la main gauche et l’impro avec le mix, noire, pointée, croche et tout et tout, mais que ça va être sympa. lorsque ça va tout se mettre en place et que le cerveau va pouvoir gérer tout ça et que l’impro va pouvoir s’exprimer, je me pousse à jouer tous les jours un peu, environ 1Hr avec parfois des trous, mais je crois que je vais passer ce cap difficile pour moi en persévérant, ça va aller.
    A bientôt Caroline, prend bien soin de toi
    Jean Luc

    1. Tu fais un super mix Jean Luc : du plaisir avec les morceaux, de la technique avec mes exos, et de l’impro + de l’analyse avec le blues. Bravo !

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